Postface
C'est ainsi que se termine ce manuscrit(1). Le bateau a sombré juste après et s'est fait recouvrir de plusieurs milliers de tonnes d'eau, autant dire que c'est pas facile de survivre à ça...
Oui, effectivement je l'ai fait, mais voilà quoi. Je suis en tout cas heureux de pouvoir maintenant honorer la mémoire de Louis-Philippe Le Goéland, que je ne connaissais pas aussi bien que lui me connaissait, et que je n'ai pas pu sauver...
Dans ce livre, on ne fait que survoler certaines de mes aventures, mais pendant cette période il y en a eu pas mal d'autres : l'affaire des diamants de la Compagnie des Indes Orientales, les requins garous d'Andalousie et bien sûr, comment j'en suis arrivé à énerver Poséidon à ce point pendant mon court séjour à Atlantis...
J'essaierais de vous raconter tout ça, mais je ne sais pas encore où, quand ou comment. Peut-être l'année prochaine dans un autre format, qui sait (là je hausse les épaules, mais ça ne se voit pas sur le papier).
Pour revenir à Louis-Philippe, il est intéressant de noter que même si nous avons assisté à la fin de sa vie, ce n'était pas exactement la fin de ses aventures. Je l'ai en effet recroisé plus tard, en enfer.
Mais ceci est une autre histoire...
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1) Oui, j'ai dit que c'était le ''Carnet'' de Louis-Philippe, mais avant d'être récupéré, vu l'état dans lequel il était, c'était un manuscrit.